Butembo : par simple panique, les élements de l'armée congolaise tuent des civils non armés.

C'est ce samedi 07 décembre, à Butembo vers Njiapanda que les éléments de l'armée congolaise s'étaient adonnés à arrêter les chauffeurs des taxis rapides autrement Ka mbiombio qui portaientleurs passager de Goma vers Butembo. Leur seul pêche, est d'avoir eu la chance de traverser la zone où ils faisaient presque cinq jours que les accrochages opposaient les forces armées de la république aux éléments rebelles du M23. 

Ces arrestations n'ont pas plu le corps des chauffeurs de Butembo. Cependant, ces derniers ont manifesté pour que leurs collègues souent libérés. Ce qui choque, c'est que les militaires n'ont pas su encandré les manifestants. Au grand mépris des prévisions légales relatives à la procédure et aux droits humains, ils ont tiré aux civils tuant ainsi deux personnes dont une jeune garçon et une fille et plusieurs blessés.  

Rappelons que ça faisait déjà plus de cinq jours que plusieurs camions, camionnettes et voitures étaient bloqués en route depuis les affrontements de l'armée loyaliste et les Wazalendo contre les rebelles du M-23. Le temps quue les chauffeurs s'étaient trouvés une occasion de se créer passage, c'est alors qu'ils sont arrivés à Butembo, la zone contrôlée par notre régulière, qu'ils se sont vu compliqués voir arrêtés pour des motifs que pour des raisons inexpliquées. Et c'est qui a amené à ce que Butembo a vécu à ce jour. 

LISVDHE condamne le comportement adopté par les forces armées de la RDC. LISVDHE croit que la population ne doit pas être pris pour cible. Loin de cela, elle rappelle existe pour représenter l'intérêt commune et pour défendre les plus faibles face au plus faible.  

De cette raison, LISVDHE ne cesse de croire que dès lors les agents de l’État s'adonner aux civils, l'État s'aura déjà s'écarter de sa mission, et plus de son obligation de protéger et de respecter les droits de l'homme. 

Eu égard à ce qui précède, LISVDHE pense qu'il serait préférable qu'en qu'au moment d'une manifestation ou d'une autre activité sensible, que l'État alligne les éléments expérimentés, et non son personnel armé qui sort du centre de recrutement.